mercredi 16 décembre 2009

L'oppression

Mise en scène :

Le narrateur Thierry MAURICE âgé de 18 ans. Il raconte son histoire quand il est devenu fou. La scène se passe dans sa chambre.

Je suis obligé de me soumettre a tout ce que l'on me dit, ou de faire. On m'oblige à nettoyer les toilettes, laver les personnes âgées, me faire violer avec quelqu'un qui a le sida. Mais le pire c'est que l'on m'oblige à faire des choses horribles avec les enfants qui ont moins de dix ans. Tout ce que je vous raconte, ce ne sont que des fantaisies, ou la réalité, je ne sais pas. Je délire peut-être. Je n'en peux plus de voir ce qui se passe. Il vaudrait mieux m'enfermer dans un asile ou me tuer, je ne sais plus quoi faire. Je pense que de la compagnie, me ferait du bien comme un chien, un ami, une femme, mais à eux aussi je leur ferais du mal donc c'est pour cela que j'en veux pas. Maintenant je me pose une question <>. Mais j'entends une voix qui me dit : <>. (D'un coup il prend peur. Il entend frapper à la porte.) Je demande qui c'est. (On ne me répondit pas, il était oppressé, la peur, le stress, commencer à m'envahir. Il redemande à nouveau) <>. (Mais il répondit que)"c'est la mort". Je ne veux pas ouvrir la porte mais en fait ce que je ne sais pas c'est que personne ne me parle. J'entends des voix. J'appelle de suite mon médecin qui me prend pour fou et m'envoie une ambulance pour m'interner à l'asile. Aussitôt après l'appel du médecin, j'appelle ma famille qui me prend également pour un fou. Je suis resté trop longtemps seul. Ma solitude dure depuis trop longtemps. Ce que ma famille ne c'est pas, c'est que j'ai fais des choses horribles aux enfants et aux jeunes filles. Je suis tellement stress et apeurée qu'une vive douleur se fait resentir dans ma tête. J'ouvris la porte et partis loin de ma maison. Quelques jours sont passées, et j'entends toujours les voix qui me hantent de plus en plus. Mais entre temps, de nouvelles voix sont arrivées dans la conversation comme un oiseau, un nuage, un arbre... et bien d'autre. Alors que je trouve un abris, j'aperçus de nouveau la mort devant moi, avec un revolver à la main et me dit : <>. Je pris le revolver et tire dans la mort et disparue. Je n'entends plus aucune voix, alors je retourna à ma maison. (Quand il a passé le seuil de la porte les voix revinrent de plus belle dans ma tête). (C'est la nuit). Je regarde par la fenêtre et aperçus sur le trottoir la mort avec le diable. (Il est minuit). J'appelle le médecin de garde pour qu'il m'envoie une ambulance. (L'ambulance arrive). Je leur demande si sur le trottoir il voit la mort et le diable, ils me disent que non. (Il arrive à l'asile). (On m'enferme dans une chambre). Même dans la chambre je vois le diable et la mort qui me pointe le revolver entre les deux yeux. <>. (A cette instant une infirmière entre dans la chambre me donne les médicaments). Je me retourne et les deux esprits ont disparu, même les mots de tête. Je lui explique que mes mots de tête sont passé ainsi que les visions. A peine passer le porte un <> retentit. Mais rien ne s'est passé.

IGER Sébastien

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